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Mars 2020 : les coups de coeur média d'Etsedera

Avant que je n’écrive tous les jours sur les initiatives positives que je vois naître dans le sillon du coronavirus, j’avais écrit un calendrier éditorial relativement précis sur l’animation de ce blog. Alors, aujourd’hui, pour ne pas perdre toutes mes bonnes habitudes, un petit break de la série #Confinement pour lister tout ce que j’ai lu/vu/écouté et que je recommande.

Ah, j’avais prévu une édition spéciale dédiée aux femmes : leurs histoires, leurs colères, leurs travaux. C’est parti !

A voir

  • Une belle chanson militante à écouter, à apprendre, et une chaîne de femmes engagées qui donne de l’énergie !

  • Le documentaire d’Arte Me too entre dans la danse qui met des mots (douloureux mais nécessaires) sur les violences faites aux femmes dans le milieu de la danse. Il a été publié de manière opportune le jour où l'on a appris les 23 requis contre Harvey Weinstein... A voir jusqu'au 9 avril

A écouter

  • Face à l'oubli, une série de reportages émouvants d'Agathe Charnet pour Programme B : ces quatre épisodes exposent la dure réalité de la maladie d'Alzheimer pour les personnes atteintes, pour leurs proches, surtout lorsque le diagnostic tombe tôt dans la vie. Une histoire personnelle qui révèle beaucoup de son autrice mais profondément une histoire de projet collectif, d'une haute importance pour notre société vieillissante

  • J’en ai marre d’être une fille dans la saison 2 du podcast Entre de Louie Media : j’adore entendre les points de vue des enfants sur les problèmes du monde. On devrait les écouter plus sérieusement. C’est pourquoi j’adore ce podcast et cet épisode.

  • De la violence des amitiés pour Transfert (oui, il y a beaucoup de Louie Media dans cette liste…) : des rebondissements, beaucoup d’amour, encore plus de douleur, un récit qui paraît rocambolesque mais qui touche par sa vérité.

A lire

  • Nach « J’ai besoin d’hybrider mon krump pour continuer à danser » parce que c’est une chorégraphe avec qui j’ai le bonheur de pouvoir danser et dont j’adore le travail/la façon de transmettre. En plus, se plonger le temps d’un entretien dans le processus créatif de quelqu’un est une grande source d’inspiration pour moi

  • Hendrickx fait krumper le festival Lezarts Danses Urbaines parce que je veux en apprendre toujours plus sur le krump et les femmes du mouvement. Et lorsque j’ai vu la programmation de ce festival belge, j’étais vraiment déçue de ne pas l’avoir découvert avant pour pouvoir m’organiser pour y assister !